12H05 le 25 mai 2014: le train à destination de Casa Port démarre, sans retard... eh oui ça lui arrive d'être à l'heure!
12h10 : sous le pont menant à Avicenne, près de la faculté d'économie le train ralentit puis s'arrête.
Dans l'un des wagons, en fin de train, un jeune homme voit au-dessus de sa tête, tomber des petites étincelles du plafond.
En quelques minutes, un bruit crépitement se fait entendre dans le wagon. Les voyageurs tentent d'ouvrir la porte, chose impossible sans électricité. La fumée apparaît et son odeur éveille les soupçons vis-à-vis de la gravité de la situation.
"L3AFIA" crie l'un des voyageurs et cela suffit à faire paniquer les autres qui ouvrent la porte de force.
"Sortez, calmez-vous, ne poussez pas".
Tout le monde voudrait sortir en premier mais tout le monde voudrait emmener ses bagages avec lui.
Les gens courent sans savoir où ils vont. Des petits garçons, se trouvant en haut sur le pont leur crient de passer par ci ou par là.
Personne n'ose monter, la majorité ne reconnaissant pas même le lieu, car d'en bas, les immeubles se ressemblent tous!
Le début d'incendie, touche la verdure environnante qui s'enflamme aussitôt. Les pompiers arrivent, le vent éparpille légèrement les flammes.
En une trentaine de minutes ces dernières sont contrôlées. La fumée se dissipe et laisse apparaître le wagon brûlé. Le trou ne dépasse pas les 2 mètres mais a fait beaucoup de dégâts.
"En Syrie les gens s’entretuent et ici on cri pour un "petit" cour-circuit", me confie un agent de la sécurité... cherchez le rapport!
De deux choses l'une: heureusement que la caserne des pompiers n'était pas loin et qu'il s'agissait d'une heure creuse où le train n'est pas bondé!
12h10 : sous le pont menant à Avicenne, près de la faculté d'économie le train ralentit puis s'arrête.
Dans l'un des wagons, en fin de train, un jeune homme voit au-dessus de sa tête, tomber des petites étincelles du plafond.
En quelques minutes, un bruit crépitement se fait entendre dans le wagon. Les voyageurs tentent d'ouvrir la porte, chose impossible sans électricité. La fumée apparaît et son odeur éveille les soupçons vis-à-vis de la gravité de la situation.
"L3AFIA" crie l'un des voyageurs et cela suffit à faire paniquer les autres qui ouvrent la porte de force.
"Sortez, calmez-vous, ne poussez pas".
Tout le monde voudrait sortir en premier mais tout le monde voudrait emmener ses bagages avec lui.
Les gens courent sans savoir où ils vont. Des petits garçons, se trouvant en haut sur le pont leur crient de passer par ci ou par là.
Personne n'ose monter, la majorité ne reconnaissant pas même le lieu, car d'en bas, les immeubles se ressemblent tous!
Le début d'incendie, touche la verdure environnante qui s'enflamme aussitôt. Les pompiers arrivent, le vent éparpille légèrement les flammes.
En une trentaine de minutes ces dernières sont contrôlées. La fumée se dissipe et laisse apparaître le wagon brûlé. Le trou ne dépasse pas les 2 mètres mais a fait beaucoup de dégâts.
"En Syrie les gens s’entretuent et ici on cri pour un "petit" cour-circuit", me confie un agent de la sécurité... cherchez le rapport!
De deux choses l'une: heureusement que la caserne des pompiers n'était pas loin et qu'il s'agissait d'une heure creuse où le train n'est pas bondé!
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